par monts et par vaux

Une agréable balade vallonnée sur les hauteurs du Pays de Montbéliard, entre forêts et champs, avec de beaux points de vue. 

À Audincourt, se garer au bout de la rue des Cantons et de son quartier résidentiel, sur le parking, devant les barrières forestières. Des panneaux donnent les plans des circuits de randonnées des lieux, on opte pour le n°1 (balises jaunes et bleues).

Prendre la route forestière, à droite, qui s'élève régulièrement dans les bois. On la laissera en haut continuer sur la gauche, et optera pour le petit chemin tout droit qui nous amènera jusqu'au GR5, à une croisée des chemins.

On suit le GR5 et notre circuit sur la droite, toujours dans la forêt et ses sapinières. On débouche sur des champs qui surplombent Dasle et d'où nous voyons aussi Beaucourt et Montbouton.

On rejoint Dasle par son cimetière. On traverse la piste cyclable, puis le village. De l'autre côté de la route départementale 126, on choisit une petite route à droite qui se transforme vite en chemin agricole. On le remonte en suivant toujours les balises vers Vandoncourt, à travers champs et vieux vergers.

On accède à une petite route, juste devant le cimetière de Vandoncourt. Là, on quitte le GR5 et poursuit à droite le circuit. La route est sur la crête d'un vallon. Après une ferme, elle se transforme, elle aussi, en chemin agricole. Elle nous offre de très beaux panoramas vers Dasle au nord, Vandoncourt à l'est et la vallée de Hérimoncourt au sud.

Au bout du chemin, on traverse la route et prend aussitôt à droite le sentier qui s'enfonce dans les bois. On le suit, le descend. On passe non loin d'un château d'eau camouflé par les arbres et du quartier des Champs Montants d'Audincourt. 

Devant l'accès à une antenne téléphone, on arrive à un carrefour. On traverse à nouveau  la départementale et rejoint au-dessus la piste cyclable qui la surplombe. On la prend à droite et la longe jusqu'à un petit sentier qui s'élève sur la gauche (on fera attention au balisage). Le sentier grimpe dans la forêt. On laisse sur la gauche un champ, au-dessus d'Audincourt, à la lisière duquel on peut apprécier une belle vue. Puis on redescend, toujours à travers bois, jusqu'au point de départ.

Compter entre 9 et 10 kms, pour cette paisible et variée randonnée, qui offre un bel aperçu des paysages du Pays de Montbéliard.

Une autre incursion dans le pays d'Héricourt, sur ses hauts et pour profiter de ses grands espaces. Une courte balade, qui suit la ronde du Pâquis (avec un petit crochet en plus).

Se garer à Mandrevillars au pied de l'église. Sur la route, vers Chalonvillars, prendre la première à droite et suivre les triangles verts. On quitte le village et s'élève dans les champs d'où l'espace dégagé permet de superbes envolées sur les Vosges, les villages avoisinants, le plateau vallonné.
On laisse à gauche le chemin qui rejoint Buc et continue tout droit vers le sud, en surplomb d'Echenans.

Au carrefour, au lieu de descendre directement vers Echenans, on peut prolonger un peu dans les bois et rejoindre le chemin triangle rouge que l'on suit à droite, jusqu'au sentier anneau vert et GR. Emprunter celui-ci à droite. Il nous ramène sur la ronde vers Echenans. Les balises du GR (rouge/blanc) nous guideront un moment.
On traverse le village d'Echenans.

Le GR nous guide. On traverse la départementale qui relie Echenans à Mandrevillars, la prend à gauche et opte immédiatement pour la route de Chagey à gauche que l'on longe jusqu'à la sortie du village et au centre hippique. Peu après, on opte pour un chemin forestier à droite, en lisière de forêt. On le suit. On s'enfonce après quelques temps un peu plus en forêt. Le terrain est très gras. On continue tranquillement jusqu'à un embranchement. On bifurque à droite (toujours guidé par le GR). Quelques mètres plus loin, on peut voir sur la droite la croix des femmes (en souvenir de trois femmes foudroyées en 1792).

On continue, puis on laisse le GR partir à gauche dans la forêt pour préférer le chemin en lisière des champs, balisé triangle vert, qui nous ramène à Mandrevillars. On retrouvera notre point de départ en suivant les triangles.

Compter un petit 8 kms pour cette très agréable balade.

Après la froidure, un air printanier.

Un petit tour dans le pays de Héricourt, en partant de Chagey par le circuit de la Diaichotte que l'on allongera pour le plaisir. 
Se garer sur le parking du village au bord de la rivière, en face de l'école. Traverser la rivière pour suivre le circuit de la Diaichotte (anneau jaune) en longeant d'abord la Départementale vers la gauche. On passe devant la fontaine lavoir.

On peut faire un aller-retour jusqu'au monument de la Diaichotte (mémorial 1870). On prend à droite une petite route qui s'élève dans le village vers l'église. En suivant toujours les balises, on s'engage sur une route forestière et dans la jolie forêt de Chagey. On grimpe doucement. Entre les arbres dénudées, l'on perçoit les plaines d'Echenans à droite et des trouées permettent à gauche de belles envolées vers les Vosges.

On arrive à un croisement et à un chalet forestier "Chez le geai". Là on fera un bref aller-retour jusqu'au menhir, puis devant le chalet on prend à droite le sentier qui redescend vers Chagey (toujours anneau jaune, circuit de la diaichotte).

On redescend le long du chemin emprunté par un ruisseau. Sur la gauche un petit étang en dégel.

On continue jusqu'à l'embranchement et la route. On laisse le circuit revenir sur Chagey à droite et continue tout droit pour prolonger la balade. On descend jusqu'à la route de Chalonvillars, devant une croix et la traverse pour emprunter le chemin, en face dans une prairie.

La prairie est gorgée d'eau. On chemine jusqu'à une rivière bien gonflée qu'on traverse à gué, puis on suit un chemin forestier. On continue tout droit en laissant d'abord un chemin qui part à droite puis un autre qui part à gauche. On débouche sur une petite route que l'on prend à droite. L'on suit cette route d'abord sous les bois puis dans les champs, jusqu'au village.

A Chagey, on arrive sur la route principale qu'on longe à droite jusqu'à la place devant l'église et le temple. On rejoint la rivière et le parking.

Une très courte balade variée et sympathique d'à peu près 8 kms.

De Steinbach, on remonte le vallon, jusqu'à la place de Silberthal et aux anciennes mines de Saint Nicolas (dont le site se visite), où l'on se gare.

On grimpe (balisage anneaux bleus) jusqu'à la chapelle Ste Thérèse.

On continue jusqu'à l'embranchement avec le chemin croix jaunes que l'on suit en direction de Pastetenplatz. Sur une large aire de dégagement pour les forestiers, on croise le sentier du GR, qui descend en sens inverse et sur un sentier balconnant dans la forêt (d'où l'on appréciera les quelques belles échappées vers le Rossberg), vers la Waldkapelle. On le suit jusqu'à la chapelle. 

Là, on prend à droite un chemin (anneaux rouges) qui descend vers Thann en passant par la croix du Rangen. Après cette croix, d'où l'on a une superbe vue sur Thann, l'œil de la sorcière et les ruines d'Engelbourg qui surplombent la ville et la vallée de la Thur avec Le Rossberg qui la domine, on choisit le sentier qui part à droite vers Thann, par Kattenbach.

On descend ensuite le vallon pour entrer dans Thann par la route. On passe devant un centre médicosocial et arrive dans un vieux quartier.

On rejoint la Thur et le pont. Une visite de la ville s'imposera si l'on n'a pas encore eu le plaisir de découvrir Thann et, notamment la superbe collégiale St-Thiébaut, son magnifique portail et ses vitraux (voir ici). Sinon on restera rive gauche de la rivière et suivra la route (anneaux rouges) qui la longe au pied du très réputé et escarpé vignoble du Rangen (classé grand cru) et de l'emblématique Chapelle St-Urbain. 

On laisse la route au moment où celle-ci traverse la rivière pour préférer à gauche un chemin (croix bleues) qu'on suit jusqu'au rocher de Hirnelestein, en passant par le Roïplon.

Après le rocher, on récupère un chemin qui descend dans la forêt vers les anciennes mines St-Nicolas, où l'on arrive rapidement à notre point de départ. 

Compter entre 13 et 14 kms et entre 700 et 800 ms de dénivelés pour cette balade dans les contreforts des Vosges, bien variée.

Une randonnée vosgienne de 17,5 kms (et 600 m de dénivelés) sur les pas de combattants de la première guerre mondiale, qui se disputaient la place stratégique du Hartmannswillerkopf, sommet situé sur l'ancienne frontière entre l'Allemagne et la France.

On choisit de débuter la balade au col de Freundstein (sur la route des crêtes en direction du Grand Ballon, peu après le croisement avec la route qui mène vers la ferme auberge du Freundstein).

On suit les triangles verts le long d'une route forestière, en direction de la chapelle Sicurani. Attention à l'embranchement avec la route des dames qui part en haut à droite (le balisage a disparu suite à une coupe forestière) : prendre le chemin qui descend à gauche. On récupère plus loin le balisage triangle vert, que l'on continue à suivre en pente douce, jusqu'à ce qu'on trouve le chemin balisé disques jaunes qui s'élève à gauche jusqu'à la chapelle Sicurani, lieu de recueillement et de commémoration, consacré aux soldats morts au combat. 

Après la chapelle, continuer à suivre les disque jaunes, le long d'un sentier sous bois qui descend à l'abri Baratin (ancien abri militaire). Les lieux à découverts offrent de belles envolées sur la plaine d'Alsace et au-delà. Nous descendons encore, retrouvons les bois et en fond de combes (le long du Gutenbach) la route forestière balisée triangles verts que l'on prend à gauche et qui nous amène rapidement à la croix Zimmermann.

Là, nous empruntons la route à droite (triangles rouges) en direction de Wuenheim, route que nous quittons rapidement pour un large chemin à droite qui descend la vallée, le long du Wuenheimerbach (en suivant toujours les triangles rouges). Nous passons au-dessus d'un camping, traversons la rivière et poursuivons jusqu'à l'embranchement avec le chemin des pèlerins, peu avant Wuenheim. Nous optons pour ce chemin qui part à droite, traverse à nouveau la rivière, et devant une croix commémorative trouvons le chemin rouge blanc rouge (le GR) qui part à droite vers la cantine Zeller et le HartmannsWillerkopf. Nous prenons ce chemin.

On entame alors la remontée d'abord en pente douce. On s'élève ensuite plus rapidement à travers la forêt (en suivant toujours les balises du GR). On arrive ainsi à la cantine Zeller, ancien casernement allemand, où se trouvent aujourd'hui une auberge et un petit musée sur l'histoire des lieux.

On continue à s'élever le long de la voie serpentine où se multiplient les vestiges militaires de cette zone de combat. Abris camouflés, anciens baraquements, abreuvoirs, se succèdent.

L'on s'élève ainsi sur ces lieux chargés d'histoire et de monuments commémoratifs. On passe devant le monument des chasseurs allemands et le point de vue qu'il offre sur la plaine d'Alsace. On continue à s'élever sur la crête jusqu'au monument du 15.2 (dédié au 152ème régiment français) puis à la croix et à son point de vue.

On poursuit à travers le site (on garde les traces rouge/blancs/ rouges du GR). Le chemin nous fait passer par le dédale des tranchées, parcours étroit et impressionnant, entretenu pour préserver la mémoire de ce qui s'est tramé ici, et débouche au sommet du Hartmannswillerkopf (le Vieil Armand) et à sa croix lumineuse mémorielle.

Le sommet, enjeu militaire des combats où s'opposaient les lignes françaises et allemandes, séparées de seulement quelques mètres, place stratégique pour laquelle des milliers de soldats on perdu la vie. 

On poursuit dans cette ancienne zone dévastée et descend vers l'immense nécropole militaire qu'on traverse. On rejoint ainsi le col de Silberloch et son parking. 

Au bout du parking, prendre à droite (sur la route des crêtes en direction du Grand Ballon), un chemin qui descend  dans la forêt (le GR balisé rectangle rouge en direction des cols de Freundstein et Amic)). On suit ce chemin en balcon (qui offre quelques belles envolées sur le Grand Ballon) jusqu'à notre point de départ, le col de Freundstein.

Une randonnée d'à peu près 14 kms. Suivre la boucle de Vautran jaune et bleue, à quelques détours près.

Se garer à Pierrefontaine-les-Varans sur le parking devant le château Sagey.

L'on s'engage sur la route en direction de Vautran par la rue des acacias et la rue de Belmont, en suivant les balises jaunes et bleues. On quitte le village pour passer entre les champs et atteindre la forêt. On quitte la route et grimpe régulièrement le long d'un chemin forestier. On s'élève, débouche sur une pâture. On oblique à droite en laissant les téleskis au fond du champ sur la gauche et passe devant une maison abandonnée jusqu'à un chemin auquel on accède en passant sous les barbelés qui clôturent le champ. On prend à gauche. On s'élève jusqu'à une nouvelle pâture d'où l'on a une vue sur la Roche percée. On passe entre les montbéliardes, prend à droite pour quitter le champs et revenir dans la forêt.

On grimpe à nouveau pour atteindre la crête de Belmont et son belvédère où l'on se rendra et qui nous offre un superbe panorama sur la vallée du Dessoubre, le haut-Doubs et plus loin à l'est vers le Chasseral. On longe la crête avant de redescendre. L'on quitte les balises quand le chemin tourne à angle aigu à gauche pour préférer le chemin qui descend à droite.

On débouche sur une route qui nous conduit à gauche au mémorial FFI, dressé en l'honneur du maquis de Doubs-Vennes créé en 1944.

Là, on retrouve des balises bleues et jaunes qu'on suit à gauche. On avance un moment sur un large chemin en balcon, qu'on quitte pour un sentier qui se rétrécit et qui devient étroit lorsqu'il dévale abruptement la pente. On arrive au fond de la combe du Frêne. 

On prend alors à droite le long de la combe et récupère un large chemin forestier. On descend fortement puis moins fortement jusqu'à la ferme de Vautran qu'on domine.

A l'embranchement, on tourne à droite vers Pierrefontaine. On continue, en suivant bien les balises aux divers embranchements. On passe devant la grotte de la glacière, à laquelle on accède par un sentier en aller-retour. Puis on poursuit jusqu'à un joli sentier qui s'enfonce dans la combe du Val. On rejoint la rivière et ses concrétions de tuf, la traverse sur une passerelle. On s'arrête pour se délasser avant de remonter, de passer devant de splendides chutes de la rivière et de rejoindre la route.

On la prend à droite vers la grande cascade et la source du Val. On ne s'arrête pas longtemps. L'endroit prisé des touristes qui ont là, de la route, un accès facile aux tables de pique-nique est bondé.

On remonte la route quelques mètres et oblique après la falaise sur un petit sentier qui grimpe à droite et où l'on retrouve sa quiétude. On rejoint la rue de Belmont. De là, retour au parking par le même chemin qu'à l'aller.

Une agréable balade !

Une randonnée, du côté de Maîche, assez brève (à peu près 10 kms) mais qui offre un panorama assez complet des paysages du Haut-Doubs : falaises de calcaire avec leurs beaux points de vue et les grottes qu'elle recèlent, vallées profondes, combes mystérieuses, forêts touffues et intimant au silence, torrents avec ses concrétions de tuf, cascades, prairies et champs où paissent les paisibles montbéliardes, grandes fermes avec leurs toits interminables, vestiges de moulins, belles demeures...
Le chemin est balisé jaune et bleu.

On traverse Le village des Bréseux en direction du rocher du Bourbet. On va jusqu'au bout de la route pour se garer sur un petit parking avant le belvédère.

On commence la balade par s'arrêter et profiter du magnifique panorama sur la vallée du Dessoubre que nous offre le point de vue du rocher du Bourbet. Une fois que l'on s'est bien rincé l’œil, on peut songer à démarrer. On s'éloigne du parking en longeant les falaises du Bourbet et en suivant les balises bleues et jaunes que nous ne quitterons pas de toute la randonnée. On descend doucement dans la forêt, puis plus abruptement en prenant fortement sur la gauche. L'on suit alors un large chemin forestier pour rejoindre tranquillement et après plusieurs lacets à couvert la ferme du Clan (l'on prend néanmoins garde aux motocross puantes et bruyantes qui ont pour terrain de jeu ce site qui avec elles perd un peu de son charme). Juste devant la ferme, prendre à gauche le chemin qui longe une prairie, revient dans la forêt et retourne aux prairies après un abreuvoir et un torrent. À cet endroit, opter pour la pâture de gauche (marque jaune et bleue sur la barrière, pas très visible) et non celle de droite. On pénètre à l'intérieur et la longe par le bas. On continue ainsi dans les pâtures, en suivant les haies.

On récupère un chemin caillouteux, franchit quelques torrents, cueille de l'ail des ours au passage et rejoint une route qui nous conduit à la belle ferme de Blanchefontaine. On poursuit sur la route à découvert entre les champs où les premiers foins ont été faits. On arrive dans un tournant et au creux d'une combe au torrent de Waroly. On abandonne la route et remonte ce torrent en direction de Waroly, justement. On s'élève en gardant à droite le torrent qui nous offre de belles concrétions de tuf en cascade, phénomène géologique courant dans notre région très calcaire.

Le chemin est charmant et la forêt avec ses arbres moussus très dépaysante. L'impression de pénétrer dans le monde des elfes et des fées. On parvient à un carrefour de sentiers et à la belle cascade de Waroly. On opte pour la gauche, vers les grottes de Waroly. On grimpe dans la forêt, franchit en quelques lacets les falaises jusqu'à une petite route. Ici, l'on peut faire un petit aller-retour vers les grottes de Waroly afin d'y jeter un œil. On se dirige ensuite vers le rocher Bourbet (à gauche).

On suit la petite route, passe devant le Château de l'Érémitage, rejoint la forêt. On descend quelques mètres avant de récupérer un chemin qui part sur la droite dans la forêt. On suit les balises (très bien marquées, ici) dans les bois. Le parcours en balcon est très agréable et nous propose de belles échappées sur la vallée du Dessoubre que l'on surplombe.

On arrive tranquillement à une prairie puis à une route qui nous ramène en quelques mètres (sur la gauche) au parking.

Une somptueuse randonnée vosgienne d'une quinzaine de kms et d'à peu près 800 m de dénivelés.

À la sortie de Wegscheid, en remontant la Doller, prendre la petite route à droite le long du vallon du Soultzbach. Se garer au bout.

On suit les disques jaunes sur un large chemin très agréable, qui passe à côté d'un verger conservatoire et qui remonte le Soultzbach. On le quitte pour un sentier à gauche qui s'élève à travers la forêt. On grimpe ainsi régulièrement (avec toujours les disques jaunes) en franchissant combes, torrents (gouttes vosgiennes), routes forestières, et en profitant des envolées panoramiques que nous offrent les "trouées forestières" ou les promontoires rocheux.

On arrive ainsi au point de vue aménagé de Fuchsfelsen. La vue est splendide sur la vallée de la Doller et le massif du ballon d'Alsace.

On poursuit jusqu'à un embranchement et un sentier en balcon (rectangle jaune). On prend ce dernier à gauche vers Belacker. On continue à s'élever doucement dans la forêt qui dans les hauteurs prend un caractère plus montagnard avec ces hêtres qui lui donnent son charme. On atteint ainsi les hautes chaumes et l'impression de grands espaces qu'elles procurent à un carrefour de sentiers. On opte pour celui (rectangle rouge) qui nous conduit vers la droite et sur la crête vers le Vogelstein. On s'élève ainsi encore. Peu avant le sommet et juste avant les chaumes du Vogelstein, on choisit un sentier (triangle bleu) qui redescend à gauche dans les bois et les chaumes, puis en balcon au nord du massif du Rossberg et qui nous offre de belles vues sur la vallée de la Thur et le Grand Ballon, derrière. On rejoint le chemin triangle rouge que l'on suit jusqu'à la ferme auberge de Gsang (où l'on peut s'arrêter pour se sustenter) et au-delà.

On continue vers le Rossberg en laissant sa ferme en-dessous sur la gauche et rejoint sur la crête un nouveau carrefour de sentiers. On domine les environs. A gauche, le ThannerHubel  et la plaine d'Alsace, à droite : le Rossberg, vers lequel on se dirige (rectangle rouge). On quitte le chemin qui contourne le ballon pour grimper tout droit jusqu'au sommet en restant sur la crête. La pente est sévère mais le spectacle au point culminant récompense tous les efforts. Vue à 360° sur le massif des Vosges. On profite. On savoure. 

On descend à droite, le long de la haie et des pierres sèches, droit vers le Volgenstein. Au creux du vallon on récupère (avant de remonter vers le ballon suivant) un sentier perpendiculaire à la pente (rouge et blanc). On le prend à droite. On quitte les chaumes pour entrer dans la forêt. On descend jusqu'au sentier en balcon (rectangle jaune), emprunté au préalable et que l'on reprend  vers la droite (en direction de Wegscheid) jusqu'au sentier disque jaune qu'on a escaladé pour l'aller et qu'on dévale à présent pour le retour et qui nous ramène, donc, au point de départ.

On reviendra, c'est sûr !

Une randonnée champêtre d'un peu plus de 16kms en deux boucles, de Sancey. Suivre la boucle 3 (jaune/bleu) des sentiers du vallon de Sancey.

L'on se gare entre Sancey-le-Long et Sancey-le-Grand, à Sancey-L'Eglise (les communes n'en font maintenant plus qu'une) devant la maison des services, en face de l'église.
Le début de la balade est un peu fastidieux, car on remonte la départementale assez fréquentée et peu agréable jusqu'au centre de Sancey-le-Grand. Au niveau de la mairie, dont l'architecture en pierres blanches est typique de la Franche-Comté, prendre à droite une route qui passe devant un collège. Suivre les balises à travers les quartiers résidentiels, jusqu'à dépasser le dernier (celui des Jonchets) pour se trouver enfin à la campagne sur une petite route qui s'élève à travers champs et bois. La route est très belle ; on regrette néanmoins un bon petit sentier.

L'on suit ainsi la route en passant devant la ferme La tuilerie et en alternant avec des portions assez courtes de sentiers, jusqu'à la ferme d'Etard, en face de laquelle, on bifurque à gauche pour emprunter un chemin forestier, puis un sentier que l'on gardera un moment. On s'élève jusqu'à la pâture d'Aubruvillers, que l'on contourne par la gauche, le long de ses barbelés, en prenant garde de ne pas déranger le troupeau de jeunes montbéliardes. Après la pâture, on redescend, puis à gauche, en balcon au-dessus de la vallée et de la ferme de Fonteny, en revenant vers Sancey. On suit les balises, retrouve la route, que l'on longe par un sentier qui la surplombe, puis qui la traverse jusqu'au belvédère du Dard et à la reculée du même nom.

Le belvédère offre un beau panorama sur Sancey, Belvoir et son château, et en arrière-plan, la chaîne du Lomont et ses éoliennes. La reculée et ses falaises de calcaire forment un paysage emblématique de la Franche-Comté. Le faucon pèlerin y règne en maître. On pourra pique-niquer au belvédère, où des tables ont été installées pour les visiteurs et les randonneurs de passage.
On poursuit en contournant la reculée par sa ligne de crête, jusqu'à une brèche qui a été équipée et que l'on descend par des escaliers. On rejoint ainsi le fond de la reculée jusqu'au Dard que l'on traverse. On pourra, ici, faire un aller-retour jusqu'à sa source (une grotte dans la falaise) qu'on se contentera d'observer du bas. On observera les multiples résurgences qui font se multiplier les ruisseaux et torrents avant qu'ils rejoignent le lit de la rivière.
 

On quitte la route forestière pour rejoindre la départementale et Sancey que l'on retraverse. On passe devant la chapelle et à nouveau devant la mairie.

On a bouclé une boucle (la plus longue), il nous reste à terminer la deuxième. On ne retourne pas à Sancey-l'Eglise par la même désagréable route. Juste après la mairie, on oblique à droite, sur la route qui monte à Surmont. On la suit un (trop) long moment. La départementale est moins fréquentée que la première mais pas très adaptée pour la randonnée. Heureusement, on pourra la quitter dans les bois, en prenant un chemin forestier à gauche qui nous ramènera à notre point de départ. Il suffit de bien suivre les balises de la boucle 3. On aura droit en redescendant vers l'église à de belles envolées vers Sancey et sa vallée, d'un côté, et vers Belvoir et le Lomont,, de l'autre.

Une randonnée sympathique, malgré les trop longues portions effectuées sur la route. On pourra à ce titre réduire la balade à une boucle (la plus intéressante) en se garant face à la mairie. L'on ne perdra pas grand chose, si ce n'est la toute dernière partie en forêt et ses vues sur les environs, à l'arrivée.

De retour vers Saint-Hippolyte, mais cette fois pour une randonnée sur la rive gauche du Doubs.
L'on suivra les balises bleues et jaunes.

Se garer à l'entrée de Bief, avant le pont qui mène au village. Le traverser à pied et récupérer les balises que l'on suivra à gauche le long du Doubs vers le cœur du petit village de Bief. On passera devant la croix et le petit pont puis l'on s'élèvera vers l'ouest, en suivant la direction du Grand Recet et de Saint-Hippolyte. On quitte rapidement la petite route pour prendre un large chemin qui monte à travers bois puis à travers champ. Là, on profitera de belles envolées sur la vallée du Doubs.

On suit le chemin balisé, jusqu'à une route qu'on prend vers la gauche et la ferme du Grand Recet. Peu après, on choisit un chemin qui grimpe dans les bois et qui passe devant les pylônes de télévision et les antennes. On les contourne en suivant toujours le balisage. On longe alors la falaise en surplomb de Saint-Hippolyte. De beaux points de vue sur le village s'offre à nous.

On descend le long d'un sentier un peu plus abrupt jusqu'à Saint-Hippolyte sur sa rive gauche du Dessoubre. On suit la route qui longe la rivière.

Le Dessoubre se jette dans le Doubs et l'on continue à suivre la route, puis le chemin, au bord du Doubs, qui nous raccompagne jusqu'à Bief.

Une dizaine de kms pour cette petite randonnée !